Le registre ATENA s’appuie sur une méthodologie rigoureuse pour collecter et sécuriser des données essentielles à la surveillance des anomalies congénitales.
Pour garantir la qualité des données, le registre ATENA recense de manière exhaustive les enfants atteints d’anomalies congénitales en Nouvelle-Aquitaine, en collaboration avec les professionnels de santé et les maternités de toute la région.
Lorsqu’une anomalie est diagnostiquée, le médecin informe les parents sur le registre. Si les parents ne s’opposent pas, les enquêtrices du registre consultent les dossiers médicaux de la grossesse pour recueillir toutes les informations en lien avec les anomalies congénitales que ce soit chez la mère ou chez l’enfant. Les parents n’ont aucune démarche à faire. Toutes les données sont sécurisées.
Si les parents s’opposent à la participation de leur enfant/fœtus, le registre ne consulte pas le dossier médical. Nous enregistrons uniquement le nombre total d’oppositions pour suivre notre activité. Pour éviter de recontacter les familles par erreur, nous conservons, de manière sécurisée et à part, une liste d’opposition. Cette liste n’est accessible qu’à une seule personne habilitée au sein de l’équipe du registre.
Quelques mois plus tard, un questionnaire s’intéressant aux médicaments, à l’environnement de vie et à l’environnement professionnel est ensuite envoyé aux parents qui ne se sont pas opposés. Ils peuvent le compléter en ligne.
Comme les 6 autres registres d’anomalies congénitales de France, les méthodes que nous appliquons suivent les recommandations européennes pour la surveillance des anomalies congénitales (réseau EUROCAT).
Le registre ATENA s’appuie sur une méthodologie rigoureuse pour collecter et sécuriser des données essentielles à la surveillance des anomalies congénitales.
Pour garantir la qualité des données, le registre ATENA recense de manière exhaustive les enfants atteints d’anomalies congénitales en Nouvelle-Aquitaine, en collaboration avec les professionnels de santé et les maternités de toute la région.
Lorsqu’une anomalie est diagnostiquée, le médecin informe les parents sur le registre. Si les parents ne s’opposent pas, les enquêtrices du registre consultent les dossiers médicaux de la grossesse pour recueillir toutes les informations en lien avec les anomalies congénitales que ce soit chez la mère ou chez l’enfant. Les parents n’ont aucune démarche à faire. Toutes les données sont sécurisées.
Si les parents s’opposent à la participation de leur enfant/fœtus, le registre ne consulte pas le dossier médical. Nous enregistrons uniquement le nombre total d’oppositions pour suivre notre activité. Pour éviter de recontacter les familles par erreur, nous conservons, de manière sécurisée et à part, une liste d’opposition. Cette liste n’est accessible qu’à une seule personne habilitée au sein de l’équipe du registre.
Quelques mois plus tard, un questionnaire s’intéressant aux médicaments, à l’environnement de vie et à l’environnement professionnel est ensuite envoyé aux parents qui ne se sont pas opposés. Ils peuvent le compléter en ligne.
Comme les 6 autres registres d’anomalies congénitales de France, les méthodes que nous appliquons suivent les recommandations européennes pour la surveillance des anomalies congénitales (réseau EUROCAT).
Les données du registre comme celles du questionnaire sont stockées sur un serveur sécurisé au sein du CHU de Bordeaux. Elles sont pseudonymisées : les informations directement identifiantes (nom, prénom, date de naissance) sont remplacées par un numéro d’identification.
Pour éviter les doublons (enregistrer deux fois une même personne dans le registre), les noms, prénoms et dates de naissance de la mère et de l’enfant sont conservés séparément, avec un accès strictement limité aux personnes habilitées. Ces données sensibles sont gérées avec la plus grande attention pour garantir leur sécurité.
Pour garantir la qualité des données, nous appliquons des procédures de validation : les données sont vérifiées par des médecins compétents. La qualité des données recueillies est ensuite régulièrement contrôlée.
Une fois validées, seules les données non identifiantes sont utilisées pour des analyses statistiques pour suivre par exemple la fréquence des anomalies congénitales ou leur répartition sur le territoire. Seuls des résultats résumés sont publiés.
Le registre ATENA partage des données avec les organismes de surveillance épidémiologique :
• Santé publique France : grâce aux données non identifiantes que tous les registres français transmettent, Santé publique France assure la surveillance des anomalies congénitales en France.
• EUROCAT : ce réseau rassemble les registres d’Europe qui partagent chaque année leurs données non identifiantes pour la surveillance au niveau européen. Notre registre ne transmet ni les données identifiantes ni les données du questionnaire. Aller sur le site EUROCAT.
Dans un second temps, les données du registre et du questionnaire environnement pourront être partagées avec des organismes de recherche, dans le respect de la réglementation et en garantissant l’anonymat des participants. Ces partages seront limités aux informations nécessaires aux projets de recherche concernés.
Hôpital Haut-Lévêque - Bâtiment cardiologie
Avenue de Magellan
33604 Pessac cedex